Ultimes confessions d’un déporté de Varsovie

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Théâtre

Calek

De et avec Charles Berling

ven. 29 mars
20h
Terminé
Lieu
Coopérative SN à Belfort
Itinéraire
Durée
1h10
Tarifs
8 à 18€
Public
Dès 16 ans

Ce spectacle fait partie de la thématique Artiste invité : Charles Berling

Résumé

Après l’invasion allemande, la ville d’Otwock, où vit une importante communauté juive, se retrouve au  
cœur du Gouvernement général de Pologne.  
Fin 1940, Calek PERECHODNIK, sa femme Anna et leur fille Athalie sont alors obligés de quitter leur logement et de s’entasser dans le ghetto de la ville.
Deux ans plus tard, lors de « l’Action de liquidation », la famille de Calek est déportée. Après son évasion, il trouve refuge dans un appartement à Varsovie et commence l’écriture de ses mémoires. Il meurt à la fin de l’été 1944 lors de l’insurrection de Varsovie, après avoir confié son journal à un ami polonais.

Compagnie

Châteauvallon Liberté, Scène nationale - Toulon et Ollioules, France

Distribution

Avec la complicité de Sylvie Ballul
D’après les mémoires de Calek Perechodnik
Traduction Paul Zawadzki
Adaptation Charles Berling et Sylvie Ballul
Décor Christian Fenouillat
Musique György Ligeti
Assistante à la mise en scène Léa Ortelli
Production Châteauvallon-Liberté, scène nationale
Source du manuscrit Yad Vashem, the Holocaust Martyrs' and Heroes' Remembrance Authority

Directeur de la production : Benoit OLIVE
Administratrice de production : Marie-Pierre GUIOL
Directeur Technique : Karim BOUDAOUD
Directeur technique adjoint du Liberté : Pierre-Yves FROEHLICH
Directeur de la communication et des relations médias : Matthieu MAS

 

Production

Châteauvallon Liberté, Scène nationale

Calek PERECHODNIK, auteur

Né en 1916 à Varsovie, devient ingénieur agronome. En 1940, sa famille rejoint le ghetto de Varsovie, où il s’engage dans la police juive. Lors de la « Liquidation » en 1942, sa famille est déportée, le laissant comme l’un des rares survivants. Après s’être échappé, il écrit ses mémoires. Il meurt probablement en 1944.

Interview de Charles BERLING

Par le GRRRANIT SN

“Le participatif, j’y crois beaucoup. C’est une façon de casser les hiérarchies entre l’artiste et le public.“

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