18 Fév 2022 - 20:00
L’INTRÉPIDE SOLDAT DE PLOMB
Cie Stefan Wey (Allemagne)
— Un spectacle tout public dès 7 ans —
Un espace blanc, une gigantesque toile de parachute dégonflée… En costume blanc, un dandy se présente…c’est Andersen lui-même… Il semble tellement fatigué. Il se parle à lui-même. Une petite musique lancinante monte lentement, elle devient obsédante. La toile se gonfle d’air chaud. Andersen disparaît sous les gigantesques draps blancs. Il réapparaît et nous invite à le suivre. L’envers du décor.
Nous nous glissons sous les pans de toile, de petits bancs nous attendent, l’espace scénique se métamorphose en lanterne géante… les images et les ombres sont projetées au dessus et tout autour de nous. Au rythme d’une ritournelle échappée d’une boîte à musique, le petit soldat affronte une suite vertigineuse d’obstacles au bonheur. Malgré son handicap, il sait gagner l’affection d’un petit garçon, l’amour d’une ballerine, mais il tombe par la fenêtre et tout bascule. Une puissance maléfique se déchaîne : la rue, les caniveaux, le canal, le poisson, les courants d’air et le feu du poêle. Les mécanismes cruels du conte d’Andersen sont magnifiquement respectés. Tout le spectacle suit cette ingénieuse poésie…
du Puppentheater Meiningen est un modèle rare de sensibilité et de délicatesse. Peu d’œuvres peuvent paraître aussi simples, nous faire rêver et nous émerveiller par tant d’émotions.
Danseuse, à déterminer
Mise en scène, Tobias J. Lehman
Scénographie, Ingo Mewes et Thomas Klemm
Lumière, Gerd Weidig
Technique, effets spéciaux, Sven Huerdler,
Jörg Schuchardt
Cie Stefan Wey (Allemagne)
Coproduction GRRRANIT SN
18 Fév 2022 - 20:00
L’INTRÉPIDE SOLDAT DE PLOMB
Cie Stefan Wey (Allemagne)
— Un spectacle tout public dès 7 ans —
Un espace blanc, une gigantesque toile de parachute dégonflée… En costume blanc, un dandy se présente…c’est Andersen lui-même… Il semble tellement fatigué. Il se parle à lui-même. Une petite musique lancinante monte lentement, elle devient obsédante. La toile se gonfle d’air chaud. Andersen disparaît sous les gigantesques draps blancs. Il réapparaît et nous invite à le suivre. L’envers du décor.
Nous nous glissons sous les pans de toile, de petits bancs nous attendent, l’espace scénique se métamorphose en lanterne géante… les images et les ombres sont projetées au dessus et tout autour de nous. Au rythme d’une ritournelle échappée d’une boîte à musique, le petit soldat affronte une suite vertigineuse d’obstacles au bonheur. Malgré son handicap, il sait gagner l’affection d’un petit garçon, l’amour d’une ballerine, mais il tombe par la fenêtre et tout bascule. Une puissance maléfique se déchaîne : la rue, les caniveaux, le canal, le poisson, les courants d’air et le feu du poêle. Les mécanismes cruels du conte d’Andersen sont magnifiquement respectés. Tout le spectacle suit cette ingénieuse poésie…
du Puppentheater Meiningen est un modèle rare de sensibilité et de délicatesse. Peu d’œuvres peuvent paraître aussi simples, nous faire rêver et nous émerveiller par tant d’émotions.
Danseuse, à déterminer
Mise en scène, Tobias J. Lehman
Scénographie, Ingo Mewes et Thomas Klemm
Lumière, Gerd Weidig
Technique, effets spéciaux, Sven Huerdler,
Jörg Schuchardt
Cie Stefan Wey (Allemagne)
Coproduction GRRRANIT SN